La moitié des patients souffrant d’un cancer avancé de la vessie sont trop fragiles pour recevoir le seul traitement susceptible d’allonger leur survie, à savoir le cisplatine.
Dans la mesure où l’on sait que les tumeurs urothéliales métastatiques surexpriment PD-L1, il devenait...
Vous souhaitez continuer à lire cet article ?
L'accès à la totalité de l'article est réservé aux professionnels de la santé.
Si vous êtes un professionnel de la santé vous devez vous connecter ou vous inscrire gratuitement sur notre site pour accéder à la totalité de notre contenu.
Si vous êtes journaliste ou si vous souhaitez nous informer écrivez-nous à redaction@rmnet.be.