Les tumeurs germinales et le cancer du rein sont tous deux des défis pour l’uro-oncologue: l’un parce que le principe de la surveillance active après chirurgie est régulièrement remis en question, l’autre parce que son pronostic est encore peu satisfaisant, surtout en phase métastatique. Ce qui a suscité la recherche de nouveaux schémas de prise en charge.